La création d'une uvre dérivée nécessite en elle-même l'autorisation du titulaire des droits de l'uvre adaptée
Cours et tribunaux
LA CRÉATION D'UNE UVRE DÉRIVÉE NÉCESSITE EN ELLE-MÊME L'AUTORISATION DU TITULAIRE DES DROITS DE L'UVRE ADAPTÉE
QUOI QU'ON EN DISE, tout ne sépare pas le droit d'auteur français et Hollywood. Le scénario d'un procès en droit d'auteur devant nos juridictions nationales présente ce trait commun avec celui d'un film hollywoodien que l'issue en est prévisible : à la fin, c'est le bon (le titulaire des droits) qui gagne, tandis que le méchant (le contrefacteur) est dûment châtié. C'est dire que dans les deux cas, c'est moins la chute qui importe que les péripéties qui y conduisent. Ainsi, pour ... 1er octobre 2004 -
- Légipresse N°216
Le nouveau référé audiovisuel à l'épreuve d'al manar tv
Cours et tribunaux
LE NOUVEAU RÉFÉRÉ AUDIOVISUEL À L'ÉPREUVE D'AL MANAR TV
LA PRÉSENTE ORDONNANCE est l'aboutissement (provisoire) de l'affaire qui oppose depuis novembre 2003 Al Manar TV au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). Cette chaîne libanaise, proche du Hezbollah, a diffusé en plein Ramadan un feuilleton syrien (El Shatat ou Diaspora) s'inspirant du Protocole des Sages de Sion et donc susceptible d'être qualifié d'antisémite.Conscients de l'impuissance du CSA à son égard, les pouvoirs publics ont réaménagé le référé audiovisuel de la loi ... 1er octobre 2004 -
- Légipresse N°216
EXAMINANT EN 1911 la compétence des tribunaux civils d'arrondissement par rapport à celle des juges de paix et donc l'application des lois de 1838 et de 1905, ancêtres de l'article R. 321-8-2° du code de l'organisation judiciaire, le code expliqué de la presse ou traité général de la police de la presse et des délits de publications, dit code Barbier (du nom de son auteur initial), indiquait que les infractions commises par la voie de la presse étaient définies comme commises « au ... 1er octobre 2004 - Légipresse N°215