Enews Legipresse

Recevez la newsletter et entrez dans le Club Légipresse
Valider
Valider l'adresse e-mail pour inscription à l'E-news

Le club Légipresse

Les 2 derniers inscrits
Clément Moreau

Juriste propriété ...
Derhy Noa

Etudiante

Vidéos

02/09/2016
Fabrice Arfi, Médiapart

Forum 2015 - Informer n'est pas un délit

Toutes les vidéos
Accueil > Toute la jurisprudence

JURISPRUDENCE

Vie privée
Jurisprudence

Informations relatives à la vie sentimentale illustrées de photographies

Prenant en compte l'attitude antérieure de la personne en cause, princesse de Monaco, qui a su parfois utiliser la presse à son profit, et considérant que l'événement (adultère du mari) constitue un fait d'actualité concernant un membre d'une famille souveraine qui assumait avec son mari une charge de représentation de la Principauté monégasque pour assurer son rayonnement, le tribunal minimise l'impact de l'atteinte portée à l'intimité de la vie privée, tant par l'article que par ... 1er décembre 1997 - Légipresse N°147
126 mots - 1 décision de justice
Vie privée
Jurisprudence

Faute pour publication de photographies sans autorisation

Est fautive la publication, sans autorisation, de photographies qui, bien que prises dans des lieux accessibles au public ou à son regard, ont été réalisées à l'insu des intéressés, au téléobjectif, ce qui renforce l'atteinte à la vie privée. Cependant, ces photographies ne montrant la personne en cause ni sous un jour ridicule ou cocasse, ni dans une situation humiliante ou désagréable, et n'obéissant à aucune intention de nuire, le juge accorde à la victime 30000 francs à ... 1er décembre 1997 - Légipresse N°147
94 mots - 1 décision de justice
Vie privée
Jurisprudence

Publication de photographies relatives à l'intimité d'une relation fraternelle

Est fautive la publication non autorisée de photographies relatives à l'intimité d'une relation fraternelle. Cependant, cette publication n'étant la manifestation d'aucune intention malveillante, et la personne photographiée n'étant pas montrée sous un jour ridicule, désagréable ou humiliant, le juge accorde, à la victime, 30 000 francs à titre de dommages-intérêts, au lieu des 100 000 francs demandés. 1er décembre 1997 - Légipresse N°147
62 mots - 1 décision de justice
01/12/1997

Droit de réponse

Réponse ne portant pas atteinte à la considération du ...

01/12/1997

Droit de réponse

Le droit de réponse ne peut pas être exercé contre un ...

01/12/1997

Droits voisins

Respect du droit moral des artistes-interprètes

01/12/1997

Injure

Injures absorbées par la diffamation

01/12/1997

Journaliste

Rupture de la collaboration d'un pigiste