Enews Legipresse

Recevez la newsletter et entrez dans le Club Légipresse
Valider
Valider l'adresse e-mail pour inscription à l'E-news

Le club Légipresse

Les 2 derniers inscrits
capucine simon

Elève avocat
Karine Riahi

Avocat fondateur

Vidéos

02/09/2016
Fabrice Arfi, Médiapart

Forum 2015 - Informer n'est pas un délit

Toutes les vidéos
Accueil > Toute la jurisprudence

JURISPRUDENCE

Nom de domaine
Jurisprudence

Nom de domaine reprenant une marque mais ne créant pas de confusion dans l'esprit du public

Aux termes des articles L. 713-2 et L. 713-3 du code de la propriété intellectuelle sont interdits, sauf autorisation du propriétaire, la reproduction, l'usage ou l'apposition d'une marque et l'usage d'une marque reproduite pour des services identiques à ceux désignés dans l'enregistrement, ainsi que pour des produits ou services similaires à ceux de l'enregistrement, s'il peut en résulter un risque de confusion. En l'espèce, il n'est pas contestable que le signe “saveurs.com” ... 1er mai 2002 - Légipresse N°191
249 mots - 1 décision de justice
Marque
Jurisprudence

Condamnation d'un code minitel reprenant illicitement une marque notoire

Aux termes de l'article L. 713-5 du code de la propriété intellectuelle, « l'emploi d'une marque jouissant d'une renommée pour des produits ou services non similaires à ceux désignés dans l'enregistrement engage la responsabilité civile de son auteur, s'il est nature à porter préjudice au propriétaire de la marque ou si cet emploi constitue une exploitation injustifiée de cette dernière». En l'espèce, bien que la marque “Régine” n'ait pas été déposée en classe 38, classe ... 1er mai 2002 - Légipresse N°191
260 mots - 1 décision de justice
Marque
Jurisprudence

Prescription de l'action en contrefaçon de marque et rejet d'une demande de nullité d'enregistrement pour absence de signes distinctifs

En vertu de l'article L. 716-5, al. 3 du CPI « l'action en contrefaçon[de marque] se prescrit par trois ans». En l'espèce, selon le pourvoi, l'action en contrefaçon se prescrit par trois ans à compter de l'acte de contrefaçon ; or, celui reproché était constitué par le seul dépôt de la marque “multi top” le 30 octobre 1987, ce qui constituait la date à laquelle était intervenu l'acte de contrefaçon, sans qu'il soit allégué un usage de cette marque en sorte que l'action en ... 1er mai 2002 - Légipresse N°191
259 mots - 1 décision de justice
01/05/2002

Diffamation

La bonne foi suppose que soit réalisée une enquête ...

01/05/2002

Diffamation envers un fonctionnaire public

Le fait imputé doit être un acte de la fonction, un abus ...

01/05/2002

Droit à l'image

Portée du consentement donné par les parents de l'enfant ...

01/05/2002

Droit à l'image

Absence de trouble certain au droit d'usage et de jouissance ...

01/05/2002

Droit à l'image

Conditions de recevabilité de l'action d'un mineur