Le simple fait de copier la prestation d'autrui ne constitue pas en soi un acte de concurrence fautif
Le simple fait de copier la prestation d'autrui, à supposer au demeurant que la preuve en soit rapportée, ce qui n'est pas le cas en l'espèce puisque l'agence de publicité appelante n'établit pas que l'agence intimée ait eu connaissance des ...
L'agence en question ne saurait reprocher aux intimés des actes de concurrence déloyale et parasitaire au motif que par l'utilisation de ses créations, ils auraient ainsi appréhendé son travail créatif et se seraient « insérés dans le sillon creusé par elle en économisant du temps et des frais de recherche et de création». 1er septembre 2004 - Légipresse N°214
62 mots - 1 décision de justice
Diffamation
Jurisprudence
Illustration de propos jugés non diffamatoires
Aux termes de l'article 29 alinéa 1er de la loi du 29 juillet 1881, toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne auquel le fait est imputé est une diffamation.
En l'espèce, un article imputait à un humoriste le fait d'avoir « fourgué à prix d'or [son émission] de fin d'année» à un complice humoriste de longue date. Le tribunal considère que cette affirmation ne contient en tant que telle aucune allégation contraire à l'honneur ou à la considération du demandeur et n'entraîne pas la moindre réprobation publique. Le tribunal juge également que le fait de dire qu'« il aurait été oublieux de l'amitié qui le lie à un complice humoriste ... 1er septembre 2004 - Légipresse N°214
111 mots - 1 décision de justice
Diffamation
Jurisprudence
Rejet de l'offre de preuve mais bénéfice de la bonne foi accordé au journaliste
La preuve de la vérité diffamatoire doit être complète, parfaite et corrélative aux imputations formulées tant dans leur matérialité que dans leur portée. Les prévenus réputés de mauvaise foi quant à la publication des imputations ...
En l'espèce, un article avait relaté le contenu de procès-verbaux de salariés d'une société sur laquelle pesaient des soupçons quant à la distribution de viandes d'origine britannique après l'embargo décrété à leur égard en raison de l'épizootie d'encéphalopathie spongiforme bovine. Ces procès-verbaux faisaient notamment état de l'écoulement de viandes dont les estampilles d'origine avaient été retirées.Le tribunal juge que l'évocation d'une instruction judiciaire venant ... 1er septembre 2004 - Légipresse N°214
276 mots - 1 décision de justice
01/09/2004
Diffamation
Exercice du droit de libre critique par les actionnaires ...
01/09/2004
Diffamation envers un fonctionnaire public
Le président du Conseil supérieur de l'Ordre des ...
01/09/2004
Diffamation raciale
Absence d'imputation de fait précis attentatoire à ...
01/09/2004
Droit à l'image
Publication d'une photographie d'un accident de voiture non ...
01/09/2004
Droit à l'information
Maintien d'une programmation justifiée par le droit du ...