Enews Legipresse

Recevez la newsletter et entrez dans le Club Légipresse
Valider
Valider l'adresse e-mail pour inscription à l'E-news

Le club Légipresse

Les 2 derniers inscrits
capucine simon

Elève avocat
Karine Riahi

Avocat fondateur

Vidéos

02/09/2016
Fabrice Arfi, Médiapart

Forum 2015 - Informer n'est pas un délit

Toutes les vidéos
Accueil > Toute la jurisprudence

JURISPRUDENCE

Statut professionnel
Jurisprudence

Extension de l'accord sur l'emploi des pigistes

Pris en application de l'accord du 7 novembre 2008 signé par l'Union syndicale des journalistes (Usj )-Cfdt, le syndicat des journalistes (SJ)-Cftc et la Cgc, ainsi que par la Ffap et la Fnapi, un arrêté portant sur l'extension de l'accord conclu dans le cadre de la convention nationale des journalistes sur l'emploi des journalistes pigistes a été publié au JO du 20 octobre dernier.Le texte vise à étendre un certain nombre de droits sociaux et de garanties aux salariés pigistes : accès ... 1er novembre 2010 - Légipresse N°277
157 mots
Audiovisuel
Jurisprudence

Pouvoirs de sanction du Csa : absence de limite de validité dans le temps des mises en demeure

Il ne résulte d'aucun texte ou principe général du droit que les mises en demeure adressées par le Csa sur le fondement de l'article 42 de la loi du 30 septembre 1986 auraient une validité limitée dans le temps. Une même mise en demeure peut ...
En l'espèce, une société éditrice de radio contestait la sanction pécuniaire de 200 000 euros infligée par le Csa à la suite de la diffusion de propos tenus à l'antenne lors d'une émission « Radio Libre », entre 21 heures et 22 h 30, décrivant de façon crue, détaillée et banalisée des pratiques sexuelles. Elle reprochait notamment au Conseil de ne pas avoir procédé à un examen particulier des faits de l'espèce avant de prononcer la sanction.Or, le Csa avait, par décision du ... 1er novembre 2010 - Légipresse N°277
238 mots - 1 décision de justice
Diffamation
Jurisprudence

Bonne foi : l'avocat ne saurait restreindre sa liberté d'expression au seul motif qu'il évoque sa cause devant les journalistes

Les critères de la bonne foi s'apprécient avec une moindre rigueur lorsque l'auteur des propos diffamatoires n'est pas un journaliste qui fait profession d'informer, mais une personne impliquée dans les faits dont elle témoigne.
En l'espèce, le conseil d'une femme d'affaires, héritière d'un célèbre groupe de cosmétiques, avait été assigné en diffamation pour avoir fait des déclarations à une agence de presse et dans un journal hebdomadaire, imputant à son confrère et à sa cliente d'être à l'origine de l'organisation et de l'utilisation d'enregistrements clandestins effectués au domicile de la femme d'affaires par son majordome. Les juges saisis rejettent en premier lieu la demande de sursis à statuer ... 1er novembre 2010 - Légipresse N°277
408 mots - 1 décision de justice
01/11/2010

Diffamation envers une personne publique

Excuse de bonne foi refusée à un avocat s'exprimant sans ...

01/11/2010

Droit d'auteur

La redevance pour copie privée ne peut s'appliquer qu'aux ...

01/11/2010

Droit d'auteur

Adoption au Sénat après modification de la proposition de ...

01/11/2010

Hadopi

Les Fai tenus d'envoyer les e-mails d'avertissement de ...

01/11/2010

Internet

Lancement de la « carte musique jeune » sur internet