L'adoption comme marque de cigarettes d'une appellation déjà utilisée pour d'autres produits est prohibée
La lettre du texte des articles L 355-25 et L 355-26 du code de la santé publique prohibe l'utilisation d'une marque rappelant le tabac ou un produit du tabac. Il résulte de ces dispositions d'ordre public que l'adoption comme marque de cigarettes ...
Les premiers juges ont à bon droit jugé que les dispositions de l'article L 711- 4 du code de la propriété intellectuelle ne limitent pas l'action en nullité au seul cas du dépôt d'une marque contrefaisant un signe distinctif déposé antérieurement, que le dépôt d'une marque ne doit pas porter atteinte à des droits antérieurs et qu'une telle atteinte peut résulter d'un abus de droit du déposant de la marque seconde. La cour d'appel de Paris confirme le jugement de première ... 1er mai 2004 - Légipresse N°211
141 mots - 2 décisions de justice
Nom de domaine
Jurisprudence
Radiation d'un nom de domaine susceptible d'entraîner un risque de confusion avec un autre site internet
Le dépôt par la société appelante, en 2000, du nom de domaine hotellerie.fr, pour promouvoir ses activités hôtelières, est de nature à accroire dans l'esprit du public qu'il désignerait le site internet de la société intimée dont toutes les activités sont développées sous le nom commercial l'hotellerie et dont le nom de domaine lhotellerie.fr a été déposé en 1997, de sorte que, compte tenu du même domaine d'activité des deux sociétés (secteur de l'hôtellerie ... 1er mai 2004 - Légipresse N°211
167 mots - 2 décisions de justice
Prescription
Jurisprudence
La prescription trimestrielle prévue à l'article 65 de la loi du 29 juillet 1881 n'est pas un délai de procédure
La règle édictée par les articles 640 et 642 du NCPC ou 801 du CPP, selon laquelle un délai de procédure, prévu pour l'accomplissement d'un acte ou d'une formalité, est prorogé jusqu'au premier jour ouvrable suivant, lorsqu'il expire un ...
En l'espèce, la prescription trimestrielle arrivait à son terme le 3 novembre 2002.Le tribunal juge qu'il importe peu que le 3 novembre 2002, date à laquelle est expiré le délai de prescription, fût un samedi, dès lors que ce délai n'est pas un délai de procédure. La prescription était donc acquise le lundi 4 novembre 2002, lorsque le demandeur a fait signifier de nouvelles écritures et l'action du demandeur est ainsi déclarée irrecevable, comme prescrite. 1er mai 2004 - Légipresse N°211
80 mots - 1 décision de justice
01/05/2004
Protection de la jeunesse
L'envoi à un majeur, d'un message ne contenant que ...
01/05/2004
Droit d'auteur
Refus de reconnaître la qualité d'auteur à un ...
01/05/2004
Droit à l'image
L'organisateur d'une manifestation sportive est ...
01/05/2004
Droit à l'image
La photographie illustrant un état de grossesse manifeste ...
01/05/2004
Droit à l'image
Cession expresse des droits détenus par un mannequin sur ...