La mise en cause, plus ou moins directe, dans les faits ou pour ses idées, du Front national, pour le meurtre d'un jeune Marocain, poussé à la Seine, en marge d'une manifestation de ce parti politique, a donné lieu, comme en l'espèce, à plusieurs demandes d'insertion du droit de réponse dans lesquelles J.-M. Le Pen contestait notamment que le FN soit un parti d'extrême-droite ou raciste.Si, par un jugement du Tribunal de grande instance de Nanterre, du 17 avril 1996, le droit de ... 1er mars 1997 - Légipresse N°139