Défaut de distinctivité d'une expression générique employée comme titre d'ouvrage
Si aucun texte n'interdit le dépôt d'un titre d'ouvrage comme marque pour désigner des produits, encore faut-il que ce dépôt réponde aux obligations légales telles que prévues au Code de la propriété intellectuelle. L'article L. 711-2 du ...
En l'espèce, le demandeur qui a publié un ouvrage intitulé Les enfants cachés, a déposé la dénomination en question comme marque six mois après avoir découvert la publication d'un autre ouvrage intitulé « Les enfants cachés L'affaire Finaly ». Il a donc assigné l'éditeur et les auteurs dudit ouvrage en contrefaçon du titre et de la marque notoire. Pour le tribunal, il est démontré qu'au jour du dépôt de la marque, l'expression litigieuse était une expression ... 1er juillet 2008 - Légipresse N°253
223 mots - 1 décision de justice
Marque
Jurisprudence
Adwords : la Cour de cassation en appelle à la CJCE pour tenter de clarifier la notion d'usage de marque et la responsabilité de Google
Saisie de la question de la responsabilité du prestataire qui propose un service de référencement payant sur internet et s'il fait un usage de la marque que son titulaire est habilité à interdire, la Cour de cassation a décidé de saisir la CJCE des questions préjudicielles suivantes : 1°) Les articles 5, paragraphe 1, sous a) et b) de la première Directive 89/104/CEE du Conseil, du 21 décembre 1988, rapprochant les législations des États membres sur les marques et 9, paragraphe 1, ... 1er juillet 2008 - Légipresse N°253
332 mots - 1 décision de justice
Diffamation
Jurisprudence
La prohibition de requalifier la prévention en matière de presse connaît sa seule exception en cas de diffamation non publique
Lorsque l'élément de publicité fait défaut, les imputations diffamatoires caractérisent la contravention prévue et réprimée par l'article R. 621-1 du Code pénal. La juridiction ayant constaté que les faits retenus constituent l'infraction ...
En l'espèce, la partie civile avocat poursuivit le défendeur à la cassation du chef de diffamation publique envers un particulier en raison de l'envoi par celui-ci au procureur de la République et au bâtonnier de l'ordre des avocats de la copie d'une lettre le mettant en cause. Les premiers juges ayant relevé que les destinataires du courrier et la partie civile étaient liés par une communauté d'intérêts, compte tenu de la profession de la partie civile, et qu'ainsi l'élément de ... 1er juillet 2008 - Légipresse N°253
228 mots - 1 décision de justice
01/07/2008
Diffamation
La bonne foi du prévenu ne peut être déduite de faits ...
01/07/2008
Diffamation envers un fonctionnaire public
Diffamation envers un agent de police
01/07/2008
Diffamation envers un fonctionnaire public
Le président d'un office public d'HLM est investi des ...
01/07/2008
Droit a l'image
Clichés publiés à l'insu de la femme politique ...
01/07/2008
Droit a l'image
Évaluation du préjudice résultant de l'atteinte au droit ...