Nouvel assouplissement s'agissant du formalisme imposé par la loi du 29 juillet 1881 à l'acte introductif d'instance devant le juge civil
N'est pas nulle la citation qui indique exactement au défendeur les faits et les infractions qui lui sont reprochés, et le met ainsi en mesure de préparer utilement sa défense, sans qu'il soit nécessaire que celle-ci précise ceux des faits qui ...
En l'espèce, le médecin fondateur d'un centre spécialisé dans l'épilation laser avait assigné du chef de diffamation et d'injures un site internet en raison de passages le mettant en cause dans un forum de discussion. Il avait également assigné l'auteur des propos litigieux. L'ordonnance rendue par le juge de la mise en état avait annulé l'assignation en raison de son imprécision. Cette décision avait été confirmée par la cour d'appel de Paris. La haute juridiction casse et annule ... 1er mai 2010 - Légipresse N°272
178 mots - 1 décision de justice
Procédure
Jurisprudence
Les abus de la liberté d'expression tels que les injures non publiques ne peuvent être réparés sur le fondement de l'article 1382 du Code civil
La prescription prévue par l'article 65 de la loi ¦¦ du 29 juillet 1881 n'est pas interrompue par des actes fondés à tort sur l'article 1382 du Code civil.
En l'espèce, la principale d'un collège avait assigné en responsabilité et indemnisation le père d'un élève, qui l'avait injuriée lorsqu'il avait appris que son fils avait été exclu une journée de l'établissement. Le juge de proximité avait rejeté sa demande sur le fondement de l'article 1382 du Code civil, considérant que le préjudice allégué n'était pas suffisamment caractérisé en l'espèce. La Cour de cassation casse le jugement de première instance, et énonce que les ... 1er mai 2010 - Légipresse N°272
176 mots - 1 décision de justice
Procédure
Jurisprudence
Les abus de la liberté d'expression réprimés par la loi du 29 juillet 1881 tels que l'injure ne peuvent être réparés sur le fondement de l'article 1382 du Code civil
Le nu-propriétaire et l'usufruitier d'un appartement appartenant à une copropriété avaient fait parvenir à leur syndic, par l'intermédiaire de leur mandataire commun, plusieurs courriers lui reprochant ses méthodes de gestion. Celui-ci les avait assignés et demandait la réparation de son préjudice moral résultant des propos tenus dans ces courriers ainsi que dans leurs propres écritures. La cour d'appel avait accueilli sa demande et affirmé que l'examen des différentes ... 1er mai 2010 - Légipresse N°272
231 mots - 1 décision de justice
01/05/2010
Publications interdites
La publication d'extraits de dépositions de témoins ...
01/05/2010
Publicité
Communication en faveur de l'ouverture à la concurrence de ...
01/05/2010
Publicité
Affiches publicitaires représentant des professionnels de ...
01/05/2010
Référé
Reproduction par un site internet du contenu de blogs ...
01/05/2010
Audiovisuel
Le Csa publie la synthèse de sa consultation publique sur ...