Absence de prudence dans l'expression d'un journaliste qualifiant un maire d'« élu qui n'est pas digne de la République »
Un journaliste était poursuivi devant le tribunal correctionnel pour y répondre des délits d'injure et de diffamation publique en raison des propos que celui-ci avait tenus lors d'une émission de télévision, en réponse aux accusations de « bidonnage » menées à son encontre par le maire d'une commune au sujet d'un reportage consacré aux trafics de drogue dans un des quartiers de sa ville.Le tribunal retient tout d'abord que le propos « X est un élu de la République que je qualifie ... 1er novembre 2011 - Légipresse N°288
423 mots - 1 décision de justice
Droit a l'image
Jurisprudence
Demande de suppression en référé d'une photographie publiée sur la couverture d'un ouvrage consacré à un footballeur : la demande est disproportionnée
Si le droit au respect de la vie privée permet à toute personne de s'opposer à la diffusion de son image, sans son autorisation expresse, encore faut-il établir que cette diffusion n'est pas pertinente.
En l'espèce, un joueur de football avait assigné en référé d'heure à heure une société d'édition aux fins de la voir condamnée à suspendre la diffusion et la commercialisation d'un ouvrage qui lui était consacré, intitulé La face cachée de X. A l'audience, le footballeur avait ramené sa demande à la suppression de la photographie publiée sur la couverture du livre, qui avait été prise deux ans auparavant et le représentait en costume-cravate, aux motifs qu'il n'avait pas ... 1er novembre 2011 - Légipresse N°288
273 mots - 1 décision de justice
Droit d'auteur
Jurisprudence
La projection des émissions de rencontres de football contenant des oeuvres protégées dans un café-restaurant nécessite l'autorisation de l'auteur de ces uvres
Seuls la séquence vidéo d'ouverture, l'hymne du championnat de football anglais (la Premier League), les films préenregistrés montrant les moments les plus marquants des rencontres récentes dudit championnat, ainsi que certains graphismes, peuvent être considérés comme des oeuvres et être ainsi protégés par le droit d'auteur. En revanche, les rencontres elles-mêmes ne sont pas des oeuvres qui bénéficieraient d'une telle protection. Pour la Cour de justice, la transmission dans un ... 1er novembre 2011 - Légipresse N°288
176 mots - 1 décision de justice
01/11/2011
Droit d'auteur
Le Conseil d'État confirme la légalité des décrets ...
01/10/2011
Publications interdites
Transmission à la Cour de cassation d'une QPC relative à ...
01/10/2011
Racisme
Les associations de lutte contre le racisme et les ...
01/10/2011
Responsabilité
Le Conseil constitutionnel soumet à une réserve ...
01/10/2011
Secret professionnel
Condamnation pour violation du secret professionnel d'un ...