Pris en application de l'accord du 7 novembre 2008 signé par l'Union syndicale des journalistes (Usj )-Cfdt, le syndicat des journalistes (SJ)-Cftc et la Cgc, ainsi que par la Ffap et la Fnapi, un arrêté portant sur l'extension de l'accord conclu dans le cadre de la convention nationale des journalistes sur l'emploi des journalistes pigistes a été publié au JO du 20 octobre dernier.Le texte vise à étendre un certain nombre de droits sociaux et de garanties aux salariés pigistes : accès ... 1er novembre 2010 - Légipresse N°277
157 mots
Audiovisuel
Jurisprudence
Pouvoirs de sanction du Csa : absence de limite de validité dans le temps des mises en demeure
Il ne résulte d'aucun texte ou principe général du droit que les mises en demeure adressées par le Csa sur le fondement de l'article 42 de la loi du 30 septembre 1986 auraient une validité limitée dans le temps. Une même mise en demeure peut ...
En l'espèce, une société éditrice de radio contestait la sanction pécuniaire de 200 000 euros infligée par le Csa à la suite de la diffusion de propos tenus à l'antenne lors d'une émission « Radio Libre », entre 21 heures et 22 h 30, décrivant de façon crue, détaillée et banalisée des pratiques sexuelles. Elle reprochait notamment au Conseil de ne pas avoir procédé à un examen particulier des faits de l'espèce avant de prononcer la sanction.Or, le Csa avait, par décision du ... 1er novembre 2010 - Légipresse N°277
238 mots - 1 décision de justice
Diffamation
Jurisprudence
Bonne foi : l'avocat ne saurait restreindre sa liberté d'expression au seul motif qu'il évoque sa cause devant les journalistes
Les critères de la bonne foi s'apprécient avec une moindre rigueur lorsque l'auteur des propos diffamatoires n'est pas un journaliste qui fait profession d'informer, mais une personne impliquée dans les faits dont elle témoigne.
En l'espèce, le conseil d'une femme d'affaires, héritière d'un célèbre groupe de cosmétiques, avait été assigné en diffamation pour avoir fait des déclarations à une agence de presse et dans un journal hebdomadaire, imputant à son confrère et à sa cliente d'être à l'origine de l'organisation et de l'utilisation d'enregistrements clandestins effectués au domicile de la femme d'affaires par son majordome. Les juges saisis rejettent en premier lieu la demande de sursis à statuer ... 1er novembre 2010 - Légipresse N°277
408 mots - 1 décision de justice
01/11/2010
Diffamation envers une personne publique
Excuse de bonne foi refusée à un avocat s'exprimant sans ...
01/11/2010
Droit d'auteur
La redevance pour copie privée ne peut s'appliquer qu'aux ...
01/11/2010
Droit d'auteur
Adoption au Sénat après modification de la proposition de ...
01/11/2010
Hadopi
Les Fai tenus d'envoyer les e-mails d'avertissement de ...
01/11/2010
Internet
Lancement de la « carte musique jeune » sur internet