Il ne saurait être fait grief à l'arrêt attaqué d'avoir qualifié de contrat d'édition les conventions de commande de sept cédéroms de vulgarisation artistique. En effet, la cour d'appel a expressément retenu que les uvres multimédias litigieuses étaient des uvres de l'esprit dont le demandeur au pourvoi était l'auteur.Ayant constaté l'absence d'un défilement linéaire des séquences, l'intervention toujours possible de l'utilisateur pour en modifier l'ordre, et la succession ...
Cour de cassation, 1re ch. civ., 28 janvier 2002, F. Casaril c/ Havas Interactive et autre