Un éditeur de méthode d'auto-apprentissage des langues étrangères mondialement connue et dont l'image est indissociable de la phrase « My tailor is rich», constitutive de la première leçon de la première de ses méthodes éditée en 1929, reprochait à une société concurrente d'avoir diffusé sur plusieurs stations de radio à grande écoute un message publicitaire qu'elle estimait lui être préjudiciable en ce qu'il commençait par « Mon tailor is rich». Le tribunal estime qu'au ...
Tribunal de commerce, Paris, 15e ch., 28 avril 2006, SAS Assimil c/ SARL Anacours