Un article, s'appuyant sur un rapport de la Cour des comptes et faisant état de l'incohérence et du coût exorbitant de la politique immobilière du ministère des Affaires étrangères, listait au titre des graves défaillances relevées les différents abus constatés lors de la rénovation de l'ambassade de France à Berlin ainsi que le mobilier de grande valeur retrouvé « inutilisé et entreposé au sous-sol.» L'article précisait que « ce mobilier aurait été facturé sous forme ...
Tribunal de grande instance, Paris, 17e ch., 17 mars 2006, Elizabeth de Portzamparc c/ David Guiraud et SA les Échos