moniaux. Cette question très politique aurait peut-être mérité un développement plus long.Par ailleurs, le tribunal écarte justement le reproche de fraude fait à la SACEM par les auteurs compositeurs.En effet, ils prétendaient que ces accords cadre prévoyant l'exploitation des oeuvres du catalogue de la SACEM, notamment sous forme de sonnerie téléphonique, auraient été passés en fraude de leurs droits. Le tribunal relève que la SACEM, en concluant lesdits accords cadres, a rempli ...
Tribunal de grande instance, Paris, 3e ch. 2e sect., 7 novembre 2003, Claude M'B (MC Solaar) et autres c/ Société Media Consulting et autres
(2) Carbonnier in «L'objection possible qu'un chef-d'oeuvre historique ne doit pas être prostitué», colloque IRPI, 22 mai 1990 ; TGI Paris, 3e ch., 8 avril 1987, CDA, 2 février 1988 p. 33 ; Paris4e chambre, 7 avril 1994, RIDAn° 164, avril 1995, p 354. La cour considère que l'incorporationd'une composition musicale dans un film publicitaire, quelle que soit la qualité de la reprocution,altérait en soi la caractère de cette oeuvre, conçue initialement comme un divestissement.