(1) NDLR : L'arrêt rendu par la 2e chambre civile de la Cour de cassation est pour une fois très disert sur les élémentsconstitutifs de la bonne foi, dans le cadre d'un litige ressortant du débat sur «le phénomène sectaire». Ilmérite donc une publication intégrale comme constituant une illustration très utile des quatre exigences traditionnellementrequises pour la reconnaissance de la bonne foi en matière de diffamation.