L'appréciation du préjudice résultant pour l'artiste interprète de la commercialisation d'un enregistrement d'un concert peut prendre en compte le barème du prix de vente des disques correspondant à la première classe des contrats-types établis par le Bureau international de l'édition musicale, lorsque l'artiste n'a fourni ni bande sonore souche (dite master), ni prestations techniques ou commerciales.En effet le juge n'a eu à connaître que du bénéfice patrimonial qu'aurait pu ...
Cour de cassation, 1re ch. civ., 8 janvier 2002, Evans c/ Stés EPM, Atlen et Éditions Atlas