Suite à une première condamnation pour exploitation contrefaisante d'ouvrages, le titulaire des droits d'auteur obtient, sur la base du mode de calcul des droits précédemment retenu (pourcentage du prix, multiplié par le nombre d'exemplaires vendus), des dommages-intérêts pour la continuation de l'exploitation des ouvrages contrefaisants.
Tribunal de grande instance, Paris, 1re ch. 1re sect., 14 mars 2001, W. Robert c/ Sté Dictionnaires Robert