Constitue une cause réelle et sérieuse de licenciement, la faute commise par un directeur de la rédaction qui, ayant la responsabilité de la mise en page d'une publication spécialisée, a laissé figurer, en vis-à-vis de la reproduction d'un discours du ministre de l'agriculture, une publicité comportant notamment les messages « occupez-vous de vos oignons» et « voici venu le temps des bulbes». Une telle mise en page était de nature à tourner en dérision un représentant de ...
Cour d'appel, Versailles, 5e ch. sect. B, 26 octobre 2000, Sté Éditions J c/ P. Glemas