Écartant l'argument avancé, de violation des dispositions de l'ordonnance du 1er décembre 1986, la Cour estime que c'est dans l'exercice de son pouvoir souverain que la cour d'appel a estimé que les mesures sollicitées n'étaient pas justifiées par la constatation d'une atteinte grave et immédiate à l'économie générale, à celle du secteur intéressé, à l'intérêt des consommateurs ou à l'entreprise plaignante.
Cour de cassation, Ch. comm., 18 avril 2000, Société Planète Câble c/ Société France Télécom Câble