L'employeur ne démontre pas que le journaliste n'ait pas tenu compte des observations faites, lors d'une première mise en garde, et qu'il soit fondé à invoquer une aggravation de ses causes de mécontentement. Il résulte en outre des éléments produits que la journaliste n'a pas été remplacée comme permanente à temps partiel, et que les rubriques, qui lui avaient été attribuées, ont été confiées à divers pigistes, dont le coût total moyen, s'il est avoisinant du salaire qui lui ...
Cour d'appel, Paris, 22e ch. A, 26 novembre 1997, Beran c/ UNI Éditions