(1) NDLR : Cet arrêt est soumis à un pourvoi. II mérite toutefois d'être relevé, car il tranche l'incompétence du tribunalcorrectionnel après l'intervention de la loi d'amnistie, sur le jeu de celle-ci sur la prescription de trois, sur la nullitéd'une citation délivrée au prévenu à la mairie où il est le maire et non pas à son domicile alors même qu'il n'est paspoursuivi pour des propos tenus en qualité de maire, afin et surtout sur les conditions d'une désignation certaine etévidente quand la partie civile n'est pas nommément désignée dans les passages poursuivis.