Le maire d’une commune du Sud-Ouest de la France a découvert qu’était relayé sur le compte Facebook d’un de ses administrés, un communiqué de la mairie informant les habitants du port du masque obligatoire dans les rues de la ville, suivi d’un commentaire le visant en ces termes : « M. X. est le ptit toutou de M. Z. qui lui-même fellationne Macron… ». Il a saisi le juge des référés sur le fondement de l’article 29 al. 2 de la loi du 29 juillet 1881, soutenant que les ...
Tribunal judiciaire, Toulouse, (ord. réf.), 10 mars 2021, Monsieur X.