Une association de défense de l'identité française et chrétienne avait déposé plainte et s'était constituée partie civile contre la porte-parole d'un mouvement politique ayant pour objet la lutte contre le racisme, laquelle avait employé au cours d'une émission télévisée le terme « souchien/sous-chien » pouvant tout aussi bien désigner les Français « de souche » que constituer un qualificatif animalier péjoratif. Le tribunal correctionnel avait relaxé la prévenue. La cour ...
Cour de cassation, ch. crim., 14 janvier 2014, L'Agrif c/ Houria B.