Trois psychanalystes avaient accepté, en vertu d'une autorisation d'utilisation de l'image et de la voix, de se faire filmer et interviewer pour la réalisation d'un film documentaire en trois parties dénonçant le traitement de l'autisme par la psychanalyse.À la sortie du film, ils avaient saisi la justice, pour demander l'interdiction de sa diffusion sur tous supports, au motif que leurs interviews avaient été coupées et exploitées en les dénaturant.Le tribunal avait en partie fait ...
Cour d'appel, Douai, 3e ch., 16 janvier 2014, Sophie Robert et Sarl Océan Invisible productions