En l'espèce, un humoriste avait saisi le tribunal correctionnel suite à la publication dans un journal satirique d'un article intitulé « Arthur et les maxi-cons » comportant, selon lui, des propos injurieux et diff amants à son égard. Il avait fait citer le directeur de la publication, l'auteur des écrits et l'éditeur pour y répondre respectivement comme auteur, complice, et civilement responsable des délits reprochés. S'agissant du terme de « truqueur » attribué à la partie ...
Tribunal de grande instance, Paris, 17e ch., 15 septembre 2011, J. Essebag c/ D. Porte et a.