En l'espèce, un avocat avait assigné en référé un célèbre moteur de recherche en raison de son service de référencement payant « Adwords », faisant valoir qu'il existait une association manifestement illicite entre le mot-clé « avocat » et les liens suggérés à l'internaute, le conduisant à des sites internet qui n'ont rien à voir avec cette profession réglementée et qui proposent des prestations juridiques de défense et d'assistance aux automobilistes, une telle pratique ...
Tribunal de grande instance, Paris, Ord. réf., 8 novembre 2010, Sébastien D. c/ Google France et a.