Une société avait introduit une action pour diffamation. Une deuxième société, cessionnaire de la créance de l'action ainsi engagée par la première, est intervenue volontairement à l'instance. La Cour de cassation décide que c'est à bon droit que les juges du fond avaient estimé que l'action introduite était intransmissible à la seconde société et avaient constaté l'extinction de l'instance engagée. En effet, l'action en réparation d'une atteinte à l'honneur ou à la ...
Cour de cassation, 1re civ., 30 mai 2006, Société MENATEP France et autres c/ Denis Robert et Éditions Les Arènes