DANS CETTE AFFAIRE, le coauteur d'une série de romans (dont les titres comprenaient le terme Angélique) s'opposait à l'utilisation de ce terme par le compositeur de la musique des films tirés de cette série de romans, ce dernier ayant repris le terme Angélique dans les titres des albums contenant son uvre musicale.La Cour de cassation a estimé que cet usage était licite, sous réserve de clause contraire dans l'acte d'adaptation de l'uvre originaire en uvre audiovisuelle, ...
Cour de cassation, 1re ch. civile, 14 janvier 2003, Archange international et autre c/ EMI Music publishing France
(2) Cf. « L'extension contestable des droits du compositeur de la musique d'une adaptationcinématographique », Samuel Becquet, Le Dalloz, 2003, n° 16, p. 1088.
(3) Cf. « Angélique, Marquise des anges, et le coauteur », Christophe Caron, CommunicationCommerce électronique, avril 2003, p. 19.
(4) Cass., 1re civ., 15 mai 2002, Hachette Filipacchi et SEDPP, LPn° 194-III, p. 139, com. :Ch. Bigot ; RDPI, novembre 2002, n° 141, page 18, note Asim Singh.