La publication de clichés manifestement réalisés à l'aide d'un téléobjectif, à l'insu des personnes concernées, porte atteinte au respect dû à leur image dès lors que leur autorisation n'a pas été recueillie. La seule constatation de l'atteinte au respect dû la vie privée et à l'image par voie de presse ouvrant droit à réparation, il en résulte que l'existence de l'obligation à réparation de la société défenderesse n'est pas sérieusement contestable. En l'espèce, la ...
Tribunal de grande instance, Nanterre, Ord. réf., 12 novembre 2001, Maruani-Queffelec c/ Prisma Presse