Le terme free, bien que repris dans la demande d'enregistrement contestée, est banal et fréquemment utilisé pour qualifier tout ce qui est d'accès gratuit, et a en conséquence une faible valeur distinctive. En outre, les signes en présence n'étaient pas identiques du fait de graphismes différents et de l'adjonction d'un terme à celui de "free". Dès lors, c'est à bon droit que le directeur général de l'INPI a rejeté l'opposition qu'avait formée la société titulaire des droits ...
Cour d'appel, Paris, 4e ch. sect. B, 29 juin 2001, Sté Proxad c/ Sté Fressure