Si la demanderesse dispose toujours de la faculté d'agir dans le délai de prescription reconnu par la loi, le fait qu'elle ait assigné un article un an après sa publication, alors qu'elle démontre, par les nombreuses décisions judiciaires qu'elle verse elle-même au débat, son souci constant d'assigner systématiquement les sociétés de presse qui portent atteinte à sa vie privée et au droit dont elle dispose sur son image, est de nature à laisser penser qu'elle a accordé une ...
Tribunal de grande instance, Nanterre, 1re ch. C, 12 décembre 2000, Vanessa Paradis c/ Société Hachette Filipacchi.