Une personne ayant accordé un entretien enregistré à un journaliste de télévision soutenait qu'elle n'avait pas, ce faisant, donné d'autorisation expresse et spéciale d'exploiter son image et demandait, en référé, l'interdiction de diffusion de la séquence télévisée.Le juge des référés, constatant que le reportage ne révèle aucun élément de la vie privée de cette personne et ne dénature aucunement les propos tenus, considère que le litige est avant tout d'ordre ...
Tribunal de grande instance, Paris, Ord. réf., 25 octobre 2000, C. Beyala c/ P. Nahon, France 2 et autres