Constatant que l'adoption d'une dénomination à titre de nom de domaine constitue une contrefaçon par reproduction de marque, au sens de l'article L. 713-2 du CPI, pour des produits ou services identiques, le juge des référés en interdit l'utilisation.
Tribunal de grande instance, Nanterre, Ord. réf., 5 octobre 2000, Sté ABAR c/ Sté IPSE