L'imputation faite à la partie civile d'être en relation d'affaires avec le patron de la mafia ouzbèque, au point d'être intervenu dans l'intérêt de ce dernier, afin d'empêcher sa reconduite à la frontière en prétendant qu'il était un honnête homme d'affaires, alors que ce dangereux personnage est interdit du territoire français, porte atteinte à son honneur et à sa considération. La valeur probante du document dont se prévalent les prévenus pour démontrer leur bonne foi ...
Tribunal de grande instance, Paris, 17e ch., 18 mai 2000, Tapie c/ Lescure et Karl Zero