L'imputation selon laquelle certaines des chansons du concert de Johnny Hallyday auraient été chantées en play-back constitue une accusation de tromperie, que les explications techniques sur la nécessité de recourir au play-back lors de mégaconcerts ne viennent pas effacer, portant atteinte à la considération du demandeur (1 F à titre de dommages-intérêts et publication judiciaire).
Tribunal de grande instance, Paris, 1re ch. 1re sect., 23 juin 1999, Smet c/ Éditions Philippe Amaury