La publication d'une revue trimestrielle est réputée être intervenue, sauf preuve contraire, le premier jour du mois de cette période. Il incombait donc en l'espèce à la partie civile prétendant voir fixer le point de départ de la prescription à compter de la publication effective de la revue et non de sa date présumée, résultant de période indiquée en couverture, d'établir cette date.
Cour de cassation, ch. crim., 19 mai 1998, Dobill Marcel