Le principe supérieur de valeur constitutionnelle des droits de la défense doit conduire à admettre que la libre production, dans un procès, de pièces écrites, dès lors qu'elles ne sont pas étrangères à la cause, est tout aussi essentielle que la liberté de parole et de ton protégée par l'article 41 de la loi de 1881.En outre, l'application du principe du droit à la liberté d'expression proclamé par l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme, exige également ...
Tribunal de grande instance, Paris, 17e ch., 2 octobre 1998, M. Pacary c/ Gaetner.