Le juge des référés, saisi d'une demande de dommages et intérêt provisionnels et d'une mesure de publication pour atteinte à la vie privée considère qu'il n'apparaît pas, de manière évidente et incontestable, que les informations contenues dans l'article litigieux portent atteinte à la vie privée du chanteur en cause. D'autres magazines ont précédemment publié, manifestement avec le consentement des intéressés, de longs articles consacrés au même sujet, et une telle ...
Tribunal de grande instance, Nanterre, Ord. réf., 15 juin 1998, J.-Ph. Smet c/ Société Prisma Presse