Prenant en compte l'attitude antérieure de la personne en cause, princesse de Monaco, qui a su parfois utiliser la presse à son profit, et considérant que l'événement (adultère du mari) constitue un fait d'actualité concernant un membre d'une famille souveraine qui assumait avec son mari une charge de représentation de la Principauté monégasque pour assurer son rayonnement, le tribunal minimise l'impact de l'atteinte portée à l'intimité de la vie privée, tant par l'article que par ...
Tribunal de grande instance, Nanterre, 1re ch. sect. A, 31 juillet 1997, S. Grimaldi c/ Société Prisma Presse