Pour considérer la qualification de : « diffamation envers un citoyen chargé d'un mandat public » et la référence faite à l'article 31 de la loi de 1881 adéquates, le tribunal considère que le directeur d'un établissement d'hospitalisation public relève du statut de la fonction publique, qu'il a été nommé par arrêté du ministre de la santé et qu'il est donc un fonctionnaire public, au sens de l'article 31. Il ajoute encore que les propos diffamatoires contiennent la critique ...
Tribunal de grande instance, Paris, 17e ch., 22 novembre 1996, J. Coz c/ V. Terrienne et autres