Confirmant le jugement de première instance, la Cour d'appel estime qu'aucune faute ne peut être retenue à l'encontre du journal qui, d'un ton modéré, exempt de toute animosité ou volonté de discrimination, de façon sérieuse et documentée, n'a fait qu'informer ses lecteurs du fait, déjà largement connu, de l'appartenance d'une personne à un groupement spirituel.
Cour d'appel, Paris, 11e ch. sect. A, 15 octobre 1996, M.-C. Ricci c/ Le Nouvel Observateur