(3) Civ. 2, 19 février 1977, n° 44 et 26 octobre2000, n° 147.
(4) Crim. 28 novembre 2006, n° 300 après Civ. 2du 5 novembre 2004, n° 505.
(5) Bulletin 2006. I. n° 7, p. 7.
(6) N° de pourvoi : 06-89463.
(7) Crim. du 27 octobre 1893, n° 282, 3 mai 1956,n° 344, 9 mars 1965, n° 70, 2 mai 1972, n° 149,15 mars 1994, n° 99 et 24 janvier 1995, n° 33,Crim. du 23 juin 2009, n° 133 : « Mais attenduqu'en prononçant ainsi, alors que, les expressionsoutrageantes et injurieuses étant, en l'espèce,indivisibles des imputations diffamatoires et seconfondant avec elles, le délit d'injure se trouvaitabsorbé par celui de la diffamation, et que laplainte ne créait aucune incertitude dans l'espritde la prévenue quant à la nature des faits poursuivissous cette dernière qualification, la cour d'appeln'a pas donné une base légale à sa décision. »
(8) Crim. 30 novembre 1982, n° 273.
(9) V. par exemple Crim. 6 février 1990, Bull.crim. n° 64, p. 170.
(10) Crim. 3 avril 1984, n° 138.
(11) Crim. 9 janvier 1996, n° 463.
(12) Crim. 28 mai 1979, n° 184.
(13) Crim. 15 juin 1984, n° 227, n° 83-92.495.
(14) Crim. 19 mars 1991, n° 132, n° 90-81.621.
(15) Civ.1, 27 juin 2006.
(16) Civ. 1, 21 février 2006, n° 90.
(17) N° de pourvoi M 0817315.
(18) Civ. 2, 19 février 1997, n° 44 et 18 mars 1999,n° 52 ; 12 mai 1999, n° 90.
(19) n° 73.
(20) n° 289
(21) Civ. 1, 21 février 2006, n° 90 et 16 mai 2006,n° 245.
(22) Paris, 4 février 2000 : Gaz. Pal. 2000.2.somm.1715.
(23) 12 mai 1999, n° 90.
(24) N° 187.
(25) Jcp 147, p.1223-1224.
(26) « Qu'est devenue la responsabilité civile enmatière de presse ? », D. 2004,p. 590, E. Dreyer.
(27) E. Derieux, Les petites affiches, 16 juillet2003, n° 141.
(28) Civ. 1, n° 190, pourvoi n° 0610464.
(29) N° 180, pourvoi n° Y0812381.
(30) Civ. 2, 6 février 2003, n° 29.
(31) Civ. 1, 8 novembre 2007
(32) Civ.1, 8 avril 2010, pourvoi n° Y0965032.
(33) Civ. 2, 24 novembre 1999, n° 172.
(34) Civ. 2, 23 mai 2001, n° 106.
(35) Civ.1, 26 juin 1996, n° 181.
(36) Civ. 2, 10 mai 1995, n° 9313640.
(37) Civ. 2, 23 mai 2001, n° 106.
(38) Civ. 2, 22 janvier 2004, n° 23.
(39) Civ. 2, 20 mars 2007, n° 121.
(40) N° 348.
(41) Civ. 13 avril 1948, n° 108 et Civ. 2, 11 juin1998, n° 184.
(42) Civ. 2e, 17 mai 1995, Bull. 141.
(43) Selon Civ. 2 du 19 mars 1997, n° 82 et Civ. 2du 16 décembre 1999, n° 191, l'appel interrompt,dès sa déclaration, la prescription de l'action endiffamation, quelle que soit la partie dont ilémane.