Enews Legipresse

Recevez la newsletter et entrez dans le Club Légipresse
Valider
Valider l'adresse e-mail pour inscription à l'E-news

Le club Légipresse

Les 2 derniers inscrits
Pierre COLLINET

Global Director of Research & ...

Vidéos

02/09/2016
Fabrice Arfi, Médiapart

Forum 2015 - Informer n'est pas un délit

Toutes les vidéos
Accueil > Obligations et responsabilité des intermédiaires techniques: l'articulation entre référé de droit commun et référé de la loi du 21 juin 2004 (art. 6-I. 8 LCEN) -

La loi du 29 juillet 1881 à l'épreuve de la loi pour la confiance dans l'économie numérique (lcen) du 21 juin 2004
/ Chroniques et opinions


01/04/2006


Obligations et responsabilité des intermédiaires techniques: l'articulation entre référé de droit commun et référé de la loi du 21 juin 2004 (art. 6-I. 8 LCEN)



La boutique



> Abonné ? Identifiez-vous



L'ESSENTIEL Le grand défi auquel le droit de la presse est aujourd'hui confronté est son adaptation aux publications en ligne. La notion de publication sur internet, à cet égard, est au coeur du débat.
Car si l'internet constitue un espace de publication, au sens de l'article 23 de la loi du 29 juillet 1881, conditionnant la mise en oeuvre du mécanisme de courte prescription, il importe également d'y voir un espace de « nouvelle publication », au sens de l'article 65 de la loi.
Avec la loi pour la confiance dans l'économie numérique du 21 juin 2004, le législateur a introduit des innovations majeures, concernant la prescription des délits de presse et le droit de réponse en ligne, d'une part, la responsabilité des intermédiaires techniques, d'autre part. Se pose alors la question de l'articulation entre ces nouvelles dispositions et les textes préexistants.

Cent vingt quatre ans plus tard, la loi du 29 juillet 1881 est-elle en situation de faire face aux défis de la révolution numérique, comme elle avait été en mesure de répondre à la révolution de l'imprimerie? Il m'est demandé à titre de contribution à la réponse à cette interrogation, d'apprécier l'incidence d'une loi votée il y a quinze mois, ayant elle-même sensiblement modifié une loi votée il y a cinq ans, la loi 00-719 du 1er août 2000.Il a été estimé que la loi pour ...
Emmanuel BINOCHE
Premier Vice-Président au Tribunal de grande instance de Paris
 
1er avril 2006 - Légicom N°35
6210 mots