La Cour de cassation s'était vue transmettre une question prioritaire de constitutionnalité par un jugement du tribunal correctionnel de Paris dans une procédure suivie du chef de diffamation envers un corps constitué. La question était la suivante : les dispositions combinées de l'article 47 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse et des premier et dernier alinéas de l'article 48 de la même loi, desquels il résulte que la poursuite des délits et contraventions de ...
Cour de cassation, ch. crim., 21 août 2013, M. F.
1er octobre 2013 - Légipresse N°309
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